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Créé le : 13/06/2008 23:59
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[ MON COACHING ] [ SE CHOUCOUTER ] [ SE DETENDRE ] [ SEXO ] [ SE FAIRE CONFIANCE ] [ MINCIR ] [ SE TONIFIER ] [ TCA ]

TROUBLE DU COMPORTEMENT ALIMENTAIRE

15/06/2008 02:05

TROUBLE DU COMPORTEMENT ALIMENTAIRE


Les troubles des conduites alimentaires - TCA - (ou troubles des "comportements" alimentaires) se caractérisent par un trouble en rapport à l'alimentation.

Cette psychopathologie de formes diverses et variées se présente chez le nourrisson, les adolescents surtout filles mais aussi garçons, chez les adultes et les personnes âgées. Elle peut être reliée à un autre trouble psychique comme les dépressions, les psychoses (délire d'empoisonnement) ou elle traduisent un fonctionment borderline et/ou addictif.

Les TCA sont à distinguer d'affections organiques telle par exemple la véritable anorexie qui est un trouble strictement médical.

En clinique, ces différentes formes se présentent soit de manière isolées soit mixtes :

L'anorexie mentale
La boulimie
Le pica
Le mérycisme
L'orthorexie
L'hyperphagie
La sitiomanie
Les TCA peuvent être transitoires ou durables et alors parfois devenir invalidants, engendrant même un risque vital (en particulier pour l'anorexie mentale).

Les traitements de ces troubles sont effectués en collaboration entre par exemple le pédiatre, le pédo - psychiatre ou - psychologue, ils comprennent généralement des aspects psychothérapeutiques, éducatifs (comportementaux), diététiques et médicaux. Les traitements mobilisent de surcroît souvent l'entourage, famille, conjoînts/tes, etc.

Les troubles de l'alimentation sont une conséquence de troubles psychiques souvent inconscients variés Ils se manifestent par exemple par une préoccupation tyranique du poids, ou au contraire à une négligence totale du corps ou encore à des attitudes qui ressemblent aux auto-mutilations. Ils comportent parfois une dimension suicidaire à laquelle le spécialiste consultant doit particulièrement veiller. Les enjeux psychiques de ces symptômes doivent être apprécisés et évalués en fonction de la personne qui en souffre et son histoire, celle de son environnement y compris l'environnement de la petite enfance et d'évènements déclenchants de la symptomatologie. La seule présence - ou absence - d'un symptôme ou d'un autre ne suffit pas pour établir un diagnostique différentiel.

La mode de minceur, les mauvaises habitudes alimentaires, les phénomènes d'imitation entre adolescents - et autres facteurs socio-culturels - jouent un rôle certain mais qu'il est difficile d'apprécier et qui de toute façon est assez peu pertinent dans les prises en charge.





LA BOULIMIE

15/06/2008 02:11

LA BOULIMIE


Les causes de la boulimie sont complexes et multiples et sont issues d'une combinaison de facteurs émotionnels , comportementaux, psychologiques et sociaux. Ces facteurs sont paradoxalement les mêmes que ceux de l'anorexie mentale, les deux maladies étant fréquemment liées. Un même patient peut souffrir d'une combinaison des deux maladies, ou d'une alternance d'anorexie et de boulimie.

La boulimie peut être isolée en tant que symptôme. Mais elle peut aussi se rencontrer avec d'autres troubles : les syndromes dépressifs, les troubles anxieux de la personnalité, des conduites addictives (comorbidité).

A noter que 30 à 60% des personnes qui souffrent de troubles alimentaires souffrent d'un trouble de la personnalité de type borderline. La boulimie est alors un symptome

Les personnes touchées utilisent souvent la nourriture et le contrôle sur la nourriture afin de trouver un moyen de compensation pour des émotions et des sentiments qui semblent indomptables ou insurmontables.

Pour certains, jeûner, ingérer des aliments d'une manière excessive et se faire vomir peut être comme une façon de surmonter ces émotions difficiles et d'avoir l'impression de maîtriser sa vie.

Finalement, ces comportements vont nuire à la santé physique et psychique.
La boulimie est plus fréquente que l'anorexie, et elle lui est souvent associée. Elle touche plus volontiers les femmes que les hommes (9/10), notamment la femme jeune, débutant souvent en fin d'adolescence (18-19 ans), et concerne en France 3% des adolescentes.

Cependant, ces chiffres peuvent être faussés à la baisse du fait de la difficulté à détecter la « boulimie avec purge » (vomissement, lavement,...) qui ne montre pas les stigmates habituelles d'obésité ou de maigreur morbide.

On note une corrélation entre Trouble du Comportement Alimentaire (Boulimie et Anorexie) et Trouble de la sexualité. Une proportion anormalement élevée de cas d'abus sexuel lors de l'enfance et de l'adolescence a été soulignée par plusieurs études épidémiologiques.

Une interprétation psychiatrique voit la boulimie comme une réaction de défense contre la séduction et l'acte sexuel par la déformation du corps (obésité notamment); au contraire de l'anorexie qui viserait les mêmes objectifs en ramenant le corps à l'état prépubère (aménorrhée notamment).

La boulimie entraîne des comportements compulsifs de consommation de nourriture, en grande quantité, sur un court laps de temps. Les aliments choisis sont assez stéréotypés : aliments très caloriques, volontiers sucrés (gâteaux, crèmes, glaces,...) parfois salés (charcuterie, fromages,...). Le déroulement de la crise est marqué par un début brutal, avec sensation de malaise, de vide, de grande anxiété, que le patient ressent comme particulièrement pénible, et que l'ingestion massive et brutale de nourriture pourra calmer. Ce paroxysme anxieux se solde donc par la crise boulimique proprement dite, avec excès alimentaire, souvent accompagné de culpabilité, de perte de contrôle, et de sentiment de détresse face au trouble et à la honte d'avoir cédé à la pulsion. La crise peut durer jusqu'à ce que le malade ressente de violentes douleurs abdominales, signe que l'estomac est rempli, et signant souvent la fin de la crise. Le patient est alors souvent en prise à un malaise physique (associée à la douleur morale, la culpabilité, la honte) qui se résout souvent par des vomissements volontaires. Ces prises alimentaires sont souvent associées à un maintien du poids, en raison des tactiques de contrôle du poids : vomissements, prise de laxatifs, exercice physique, crise d'anorexie, diurétiques, lavements, médicaments coupe-faim.
Survenue régulière de crises boulimiques, telles que décrites ci-dessus.
Stratégies de maintien de poids.
Les crises surviennent au moins deux fois par semaine, pendant au moins 3 mois.
L'estime de soi est particulièrement influencée par le poids et la forme corporelle (c'est-à-dire que le patient a des préoccupations excessives pour son poids, ses formes, la nourriture, etc.)
Le trouble ne survient pas exclusivement pendant des périodes de boulimie. (sinon, on parle d'anorexie associée à des crises boulimiques) Des complications parfois graves ont été notées : oesophagite (liée aux vomissements répétés), rupture oesophagienne ou gastrique (par absorption massive d'aliments), des troubles ioniques (en rapport avec l'utilisation de diurétiques ou de laxatifs) pouvant aller jusqu'à des arythmies cardiaques et des complications dentaires. Ces complications peuvent faire prendre conscience au sujet des risques qu'il encourt : par exemple vomir du sang peut être un choc pour le/la boulimique et faire diminuer ses crises. Mais il est possible alors qu'il/elle se tournera vers d'autre addictions pour combler son besoin de à la fois contrôler son corps et sa vie et à la fois les détruire Disparition avec le temps mal expliquée, le plus souvent, mais non sans souffrance qui doit justifier une consultation spécialisée.
Passage à la chronicité : la boulimie perdure, avec des rechutes fréquentes, et des risques sérieux pour la santé. Cela pourrait montrer la fixation du sujet sur un ou des évènements non résolus dans sa vie.
Apparition d'une dépression, de conduites addictives (drogues, alcool): déplacement du symptôme de la boulimie vers d'autres modes d'expression de la souffrance.
Porte d'entrée vers l'anorexie : retournement de la pulsion sur la personne propre et renversement dans le contraire.





LA BOULIMIE: MANQUE DE CONFIANCE EN SOI

15/06/2008 02:14

LA BOULIMIE: MANQUE DE CONFIANCE EN SOI


Contrairement aux anorexiques, les boulimiques ont un manque de confiance en soi pathologique. Cela n'apparaît généralement pas dans leurs rapports sociaux dans lesquels elles semblent être totalement dans l'ouverture à l'autre et peuvent avoir l'air très sûres d'elles-mêmes, mais cela devient très net dès qu'elles se retrouvent dans un univers plus intime.

Le DSMIV, manuel diagnostique et statistique qui sert de référence pour les psychiatres américains en ce qui concerne les troubles mentaux, et sur lequel s'appuie la psychiatrie cognitivo-comportementale hospitalière de la boulimie, donne le manque d'estime de soi parmi les principaux critères diagnostiques de la boulimie. L'importance excessive accordée à la forme et au poids de leurs corps par ces personnes serait déterminante pour la faillite de l'estime de soi.

Dans cette logique, la thérapie cognitivo-comportementale de la boulimie incorpore souvent au traitement une approche corporelle avec des activités comme la danse, des ateliers de "relookage " ou du yoga, pour apprendre aux boulimiques à se familiariser avec leur corps et à l'aimer.
Si le manque de confiance en soi est lié aux rondeurs et au poids, on peut s'interroger sur l'origine du manque de confiance en soi des boulimiques vomisseuses minces.
On a besoin de se positionner, de montrer qui on est. Et c'est alors que le bât blesse. Au moment où il est nécessaire de devenir adulte les personnes boulimiques ne se sentent pas exister vraiment. Comme toutes les personnes d'ailleurs qui ne peuvent pas vivre sans une addiction, les boulimiques semblent avoir raté cette étape de la croissance affective qui apporte la tranquillité, l'autonomie, la confiance en soi-même et en l'autre.

Dans cette logique bien sûr, les cours de danse ou les ateliers de "relookage " ne changeront pas grand chose à l'image que la personne boulimique à d'elle-même. Une psychanalyse sur plusieurs années s'imposerait s'il était possible de faire une analyse avec des personnes affectivement aussi carencées. Mais il se trouve que les personnes boulimiques ont généralement un trouble de l'identité si profond, si "archaïque ", que la psychanalyse, dans sa manière habituelle de fonctionner (association libre, interprétation, neutralité du psychanalyste) n'est pas adaptée ?
Reste enfin les nouvelles psychothérapies qui, si elles n'oublient pas de prendre en compte le regard psychanalytique pour comprendre, vont proposer pour traiter, une autre approche que celle de la neutralité du thérapeute. Plus attentif au discours émotionnel qu'au discours intellectuel, le psychothérapeute cherche le "petit enfant " chez la personne et, dans une attitude généralement très empathique, va proposer au "petit enfant " dans la personne d'exprimer ses frustrations, ses peurs, ses demandes. Au cours de la thérapie, la partie "petit enfant " pourra prendre de la maturité, de la confiance en soi et réussir à établir avec les autres un début de relation authentique.

Si la psychothérapie semble être l'approche la plus ajustée pour la personnalité affectivement carencée des boulimiques, elle devra tenir compte de ce que Winnicott, pédiatre psychanalyste, a appelé le "faux-self ". Les boulimiques savent très bien jouer à "faire semblant ", parfois avec bonne foi d'ailleurs, et partir dans des discours intellectuels ou rationnels, intéressants certes, mais éloignés de ce qu'elles sont au fond d'elles-mêmes, loin de leur émotion authentique. A l'image des psychothérapies qui se pratiquent avec les alcooliques ou les toxicomanes, la psychothérapie des personnes boulimiques aura avantage à être confrontante.

Le regard psychanalytique, quant à lui, va au-delà du discours "manifeste " des personnes boulimiques et fait remonter le manque de confiance en soi à un échec relatif aux processus d'intériorisation des premières relations de l'enfant et de son environnement. Bien avant l'adolescence, bien avant que l'enfant ne soit préoccupé par son corps, il y aurait déjà des signes avant-coureurs. On observe que, bébé déjà, ces personnes peuvent sourire pour que maman ne s'en aille pas. Plus grandes, les unes peuvent obtenir de très bons résultats à l'école, les autres ne pas parvenir à se concentrer suffisamment pour réussir, mais les unes comme les autres sont souvent des enfants "trop gentils ", toujours attentifs à faire plaisir, comme s'ils avaient quelque chose à prouver pour se faire apprécier. Plus tard, à l'adolescence, faire plaisir ne suffit plus. On se sent obligé de devenir réellement soi-même, on ne peut plus vivre uniquement pour plaire à l'autre. On ne peut plus se laisser habiter par la vie (et l'avis) des parents ou des autres.





LA BOULIMIE OU L'OBESSION DE LA NOURRITURE

15/06/2008 02:19

LA BOULIMIE OU L'OBESSION DE LA NOURRITURE


Les obsessions sont des idées ou des images qui sont difficiles à ignorer et qui causent une véritable détresse. Les personnes boulimiques savent la place énorme que tient l'obsession de la nourriture dans leur vie. Elles ont toutes en commun cette obsession qui les submerge en permanence, du matin au soir, au point de gâcher leur vie. Même lorsqu'elles se retiennent d'avoir des crises, elle est là. Elles se lèvent le matin avec l'idée qu'elles ne vont pas craquer, que ça va enfin être une bonne journée, qu'elles vont pouvoir penser à autre chose. Mais plus elles se retiennent et plus l'obsession de la nourriture augmente. Au fur et à mesure que la journée avance, elles sentent une pression de plus en plus violente. Et puis c'est plus fort qu'elles, elles finissent par craquer, même si certaines personnes réussissent néanmoins à contrôler leur alimentation pendant de longues périodes.

Pourtant l'obsession de la nourriture ne figure pas parmi les critères psychiatriques du diagnostic de la boulimie et les psychiatres hospitaliers spécialistes de la boulimie considèrent qu'une personne qui a réussi à se retenir d'avoir des crises pendant six mois est guérie.
En réalité, même si la personne a tenu six mois sans crises, elle a été obsédée par la nourriture du matin au soir. Et même si elle a courageusement réussi à résister, elle a été en détresse tout au long de ces six mois. Le traitement terminé, il est à craindre qu'elle ne réussisse généralement pas à résister longtemps à cette obsession de la nourriture.

Bien que l'obsession ne figure pas comme critère diagnostique dans les manuels de psychiatrie, on peut se demander si elle ne devrait pas en être un critère essentiel. Une personne serait alors boulimique tant qu'elle resterait obsédée par la nourriture, même si elle contrôle ses crises. A l'inverse, lorsque l'obsession de la nourriture disparaît au fil de la thérapie, on pourrait considérer qu'elle cesse d'être boulimique, même si des crises devaient persister pendant un certain temps encore.

Cette obsession d'où vient-elle ? Pourquoi ces personnes ont-elles besoin de vivre pour manger alors que la majorité des gens ont simplement besoin de manger pour vivre ?





LA DIFFERENCE ENTRE ANOREXIE ET BOULIMIE

15/06/2008 02:30

LA DIFFERENCE ENTRE ANOREXIE ET BOULIMIE


Quelle différence avec l'anorexie, d'autant que les personnes boulimiques commencent souvent par une anorexie très sérieuse à l'adolescence et que, tout au long de leur vie, elles alternent des phases d'anorexie et de boulimie...

Les anorexiques, elles aussi sont obsédées par la nourriture, mais elles réussissent à garder le contrôle alors que les boulimiques non. Autre point commun : certaines boulimiques vomisseuses sont parfois aussi maigres que les anorexiques les plus graves.

Mais c'est sur le discours surtout que les différences frappent le plus : en général, les boulimiques se dévalorisent beaucoup et ont une image d'elles-mêmes très négative.

Les anorexiques ont une moins mauvaise image d'elles-mêmes et refusent souvent de se remettre en question.
Il est parfois très difficile reconnaître une personne anorexique d'une personne boulimique : elles peuvent avoir un profil comportemental et psychologique assez proche. Dans les grandes lignes, la thérapie ne pourra pas être la même selon que la santé de la personne est immédiatement en danger ou non. Si la santé de la personne est en danger immédiat et si elle n'est pas elle-même en demande de thérapie, une thérapie médicale de type hospitalière, sur la demande de la famille, est probablement nécessaire : les personnes très dénutries ont un cerveau dénutri et sont incapable de pensées raisonnables. Par contre, si la personne est très maigre et, en même temps, très motivée pour faire une thérapie, elle peut faire une thérapie centrée sur sa personnalité, à condition toutefois qu'elle se fasse accompagner parallèlement sur le plan médical par le médecin de son choix.

Malgré les similitudes comportementales et cognitives, les boulimiques et les anorexiques sont parfois si dissemblables dans leur manière d'être au monde qu'il faut envisager des cadres thérapeutiques spécifiques selon qu'il s'agit des unes ou des autres.

Et,c'est finalement la différence essentielle. Les anorexiques, bien que leur vie soit souvent en danger sont rarement en demande de psychothérapie. Poussées par leur famille, les parents, le mari, elles finissent par accepter une aide médicale qui se couple parfois d'une thérapie familiale au cours de laquelle elles finissent par accepter de se remettre en question.
En revanche, les boulimiques n'hésitent pas à consulter tant leur malaise leur paraît ingérable. Et, du fait qu'elles soient personnellement en demande de thérapie, il n'est pas nécessaire de faire intervenir les parents.

D'ailleurs, je pense qu'elles ont tout intérêt à faire leur thérapie hors de la famille pour chercher leurs propres points de repères, même quand elles sont adolescentes.

Se différencier de sa famille ne signifie pas s'en séparer. La thérapie familiale n'est souhaitable que dans certains cas seulement et notamment quand la personne boulimique est encore une enfant de moins de douze/treize ans. En revanche, il peut être utile d'être en relation avec la famille, parfois, pour la coatcher ou la rassurer quand les tensions rendent la vie insupportable.

Une approche médicale peut leur être nécessaire, mais juste sous la forme de contrôles de temps en temps pour vérifier s'il n'y a pas de carences sur le plan organique.





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