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LA BOULIMIE: MANQUE DE CONFIANCE EN SOI
15/06/2008 02:14
Contrairement aux anorexiques, les boulimiques ont un manque de confiance en soi pathologique. Cela n'apparaît généralement pas dans leurs rapports sociaux dans lesquels elles semblent être totalement dans l'ouverture à l'autre et peuvent avoir l'air très sûres d'elles-mêmes, mais cela devient très net dès qu'elles se retrouvent dans un univers plus intime.
Le DSMIV, manuel diagnostique et statistique qui sert de référence pour les psychiatres américains en ce qui concerne les troubles mentaux, et sur lequel s'appuie la psychiatrie cognitivo-comportementale hospitalière de la boulimie, donne le manque d'estime de soi parmi les principaux critères diagnostiques de la boulimie. L'importance excessive accordée à la forme et au poids de leurs corps par ces personnes serait déterminante pour la faillite de l'estime de soi.
Dans cette logique, la thérapie cognitivo-comportementale de la boulimie incorpore souvent au traitement une approche corporelle avec des activités comme la danse, des ateliers de "relookage " ou du yoga, pour apprendre aux boulimiques à se familiariser avec leur corps et à l'aimer. Si le manque de confiance en soi est lié aux rondeurs et au poids, on peut s'interroger sur l'origine du manque de confiance en soi des boulimiques vomisseuses minces. On a besoin de se positionner, de montrer qui on est. Et c'est alors que le bât blesse. Au moment où il est nécessaire de devenir adulte les personnes boulimiques ne se sentent pas exister vraiment. Comme toutes les personnes d'ailleurs qui ne peuvent pas vivre sans une addiction, les boulimiques semblent avoir raté cette étape de la croissance affective qui apporte la tranquillité, l'autonomie, la confiance en soi-même et en l'autre.
Dans cette logique bien sûr, les cours de danse ou les ateliers de "relookage " ne changeront pas grand chose à l'image que la personne boulimique à d'elle-même. Une psychanalyse sur plusieurs années s'imposerait s'il était possible de faire une analyse avec des personnes affectivement aussi carencées. Mais il se trouve que les personnes boulimiques ont généralement un trouble de l'identité si profond, si "archaïque ", que la psychanalyse, dans sa manière habituelle de fonctionner (association libre, interprétation, neutralité du psychanalyste) n'est pas adaptée ? Reste enfin les nouvelles psychothérapies qui, si elles n'oublient pas de prendre en compte le regard psychanalytique pour comprendre, vont proposer pour traiter, une autre approche que celle de la neutralité du thérapeute. Plus attentif au discours émotionnel qu'au discours intellectuel, le psychothérapeute cherche le "petit enfant " chez la personne et, dans une attitude généralement très empathique, va proposer au "petit enfant " dans la personne d'exprimer ses frustrations, ses peurs, ses demandes. Au cours de la thérapie, la partie "petit enfant " pourra prendre de la maturité, de la confiance en soi et réussir à établir avec les autres un début de relation authentique.
Si la psychothérapie semble être l'approche la plus ajustée pour la personnalité affectivement carencée des boulimiques, elle devra tenir compte de ce que Winnicott, pédiatre psychanalyste, a appelé le "faux-self ". Les boulimiques savent très bien jouer à "faire semblant ", parfois avec bonne foi d'ailleurs, et partir dans des discours intellectuels ou rationnels, intéressants certes, mais éloignés de ce qu'elles sont au fond d'elles-mêmes, loin de leur émotion authentique. A l'image des psychothérapies qui se pratiquent avec les alcooliques ou les toxicomanes, la psychothérapie des personnes boulimiques aura avantage à être confrontante.
Le regard psychanalytique, quant à lui, va au-delà du discours "manifeste " des personnes boulimiques et fait remonter le manque de confiance en soi à un échec relatif aux processus d'intériorisation des premières relations de l'enfant et de son environnement. Bien avant l'adolescence, bien avant que l'enfant ne soit préoccupé par son corps, il y aurait déjà des signes avant-coureurs. On observe que, bébé déjà, ces personnes peuvent sourire pour que maman ne s'en aille pas. Plus grandes, les unes peuvent obtenir de très bons résultats à l'école, les autres ne pas parvenir à se concentrer suffisamment pour réussir, mais les unes comme les autres sont souvent des enfants "trop gentils ", toujours attentifs à faire plaisir, comme s'ils avaient quelque chose à prouver pour se faire apprécier. Plus tard, à l'adolescence, faire plaisir ne suffit plus. On se sent obligé de devenir réellement soi-même, on ne peut plus vivre uniquement pour plaire à l'autre. On ne peut plus se laisser habiter par la vie (et l'avis) des parents ou des autres.
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LA BOULIMIE OU L'OBESSION DE LA NOURRITURE
15/06/2008 02:19
Les obsessions sont des idées ou des images qui sont difficiles à ignorer et qui causent une véritable détresse. Les personnes boulimiques savent la place énorme que tient l'obsession de la nourriture dans leur vie. Elles ont toutes en commun cette obsession qui les submerge en permanence, du matin au soir, au point de gâcher leur vie. Même lorsqu'elles se retiennent d'avoir des crises, elle est là. Elles se lèvent le matin avec l'idée qu'elles ne vont pas craquer, que ça va enfin être une bonne journée, qu'elles vont pouvoir penser à autre chose. Mais plus elles se retiennent et plus l'obsession de la nourriture augmente. Au fur et à mesure que la journée avance, elles sentent une pression de plus en plus violente. Et puis c'est plus fort qu'elles, elles finissent par craquer, même si certaines personnes réussissent néanmoins à contrôler leur alimentation pendant de longues périodes.
Pourtant l'obsession de la nourriture ne figure pas parmi les critères psychiatriques du diagnostic de la boulimie et les psychiatres hospitaliers spécialistes de la boulimie considèrent qu'une personne qui a réussi à se retenir d'avoir des crises pendant six mois est guérie. En réalité, même si la personne a tenu six mois sans crises, elle a été obsédée par la nourriture du matin au soir. Et même si elle a courageusement réussi à résister, elle a été en détresse tout au long de ces six mois. Le traitement terminé, il est à craindre qu'elle ne réussisse généralement pas à résister longtemps à cette obsession de la nourriture.
Bien que l'obsession ne figure pas comme critère diagnostique dans les manuels de psychiatrie, on peut se demander si elle ne devrait pas en être un critère essentiel. Une personne serait alors boulimique tant qu'elle resterait obsédée par la nourriture, même si elle contrôle ses crises. A l'inverse, lorsque l'obsession de la nourriture disparaît au fil de la thérapie, on pourrait considérer qu'elle cesse d'être boulimique, même si des crises devaient persister pendant un certain temps encore.
Cette obsession d'où vient-elle ? Pourquoi ces personnes ont-elles besoin de vivre pour manger alors que la majorité des gens ont simplement besoin de manger pour vivre ?
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LA DIFFERENCE ENTRE ANOREXIE ET BOULIMIE
15/06/2008 02:30
Quelle différence avec l'anorexie, d'autant que les personnes boulimiques commencent souvent par une anorexie très sérieuse à l'adolescence et que, tout au long de leur vie, elles alternent des phases d'anorexie et de boulimie...
Les anorexiques, elles aussi sont obsédées par la nourriture, mais elles réussissent à garder le contrôle alors que les boulimiques non. Autre point commun : certaines boulimiques vomisseuses sont parfois aussi maigres que les anorexiques les plus graves.
Mais c'est sur le discours surtout que les différences frappent le plus : en général, les boulimiques se dévalorisent beaucoup et ont une image d'elles-mêmes très négative.
Les anorexiques ont une moins mauvaise image d'elles-mêmes et refusent souvent de se remettre en question. Il est parfois très difficile reconnaître une personne anorexique d'une personne boulimique : elles peuvent avoir un profil comportemental et psychologique assez proche. Dans les grandes lignes, la thérapie ne pourra pas être la même selon que la santé de la personne est immédiatement en danger ou non. Si la santé de la personne est en danger immédiat et si elle n'est pas elle-même en demande de thérapie, une thérapie médicale de type hospitalière, sur la demande de la famille, est probablement nécessaire : les personnes très dénutries ont un cerveau dénutri et sont incapable de pensées raisonnables. Par contre, si la personne est très maigre et, en même temps, très motivée pour faire une thérapie, elle peut faire une thérapie centrée sur sa personnalité, à condition toutefois qu'elle se fasse accompagner parallèlement sur le plan médical par le médecin de son choix.
Malgré les similitudes comportementales et cognitives, les boulimiques et les anorexiques sont parfois si dissemblables dans leur manière d'être au monde qu'il faut envisager des cadres thérapeutiques spécifiques selon qu'il s'agit des unes ou des autres.
Et,c'est finalement la différence essentielle. Les anorexiques, bien que leur vie soit souvent en danger sont rarement en demande de psychothérapie. Poussées par leur famille, les parents, le mari, elles finissent par accepter une aide médicale qui se couple parfois d'une thérapie familiale au cours de laquelle elles finissent par accepter de se remettre en question. En revanche, les boulimiques n'hésitent pas à consulter tant leur malaise leur paraît ingérable. Et, du fait qu'elles soient personnellement en demande de thérapie, il n'est pas nécessaire de faire intervenir les parents.
D'ailleurs, je pense qu'elles ont tout intérêt à faire leur thérapie hors de la famille pour chercher leurs propres points de repères, même quand elles sont adolescentes.
Se différencier de sa famille ne signifie pas s'en séparer. La thérapie familiale n'est souhaitable que dans certains cas seulement et notamment quand la personne boulimique est encore une enfant de moins de douze/treize ans. En revanche, il peut être utile d'être en relation avec la famille, parfois, pour la coatcher ou la rassurer quand les tensions rendent la vie insupportable.
Une approche médicale peut leur être nécessaire, mais juste sous la forme de contrôles de temps en temps pour vérifier s'il n'y a pas de carences sur le plan organique.
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LES DIFFERENTS BAINS
15/06/2008 02:37
Les bains
Les bains peuvent être curatifs. Très efficaces, vous pouvez, sans aucune contre-indication, améliorer votre santé en faisant une cure appropriée, dans votre salle de bains.
Bain désintoxiquant
Ces bains sont indiqués spécialement après des excès alimentaires ou le surmenage. Mettre deux kilos de gros sel marin dans de l’eau très chaude. Faire fondre le sel la veille et ajouter la quantité d’eau nécessaire. Après le bain, s’étendre sous des couvertures pour provoquer une sudation abondante qui éliminera les toxines. Prendre ensuite une douche de propreté.
Bain antiprurigineux
A prendre chaque jour pour les cas d’éruptions, cutanées. 250 g d’amidon seront délayés dans de l’eau froide et versés dans l’eau tiède du haut.
Bains tonique
A prendre chaque jour en cas d’anémie (particulièrement recommandés pour fortifier les enfants). Employer un kilo de gros sel pour 50 1 d’eau (contenant ! approximative d’une baignoire) à 32°.
Bain révulsif
Pour prévenir un refroidissement et provoquer une réaction, ce bain, pris occasionnellement, est bienfaisant. Placer un petit sac de 250 g de farine de moutarde dan » un bain à 35° environ. Couvrir la baignoire au moyen d’une grande serviette éponge pour protéger les yeux et le nez des vapeurs de moutarde. Sortir de l’eau dès que II peau rosit. S’essuyer rapidement et se talquer.
Bain adoucissant
Pour supprimer les irritations de 1a peau (en particulier les rougeurs du siège chez les bébé »), Mettre un sac contenant un kilo de son dans un bain à 3 5°. Presser ce sac de temps en temps.
Bains calmants
Ces bains sont recommandés aux insomniaques et aux nerveux. Verser dans un bain à 37°, 500 g de tilleul (infuse au préalable dans de l’eau bouillante).
Bain oxygénant
Ils désintoxiquent et fortifient. Ce sont des bains aux essences végétales dont on trouve des sachets tout préparés dans les parfumeries.
Bain aux algue
Ils ont un effet amaigrissant. Les sachets d’algues se trouvent dans les parfumeries, ainsi que le savon aux algues qui permet de faire maigrir localement. Ne pas se servir de savon ordinaire dans un bain aux algues.
Bain soufré
Ils sont recommandés pour certaines maladies de peau. Le soufre se trouve en sachet dans les parfumeries.
Règles générales concernant les bains
Les bains trop chauds et répétés fatiguent le cœur. Ils sont formellement interdits aux cardiaques. Sauf prescription médicale, un bain ne doit jamais durer plus de dix minutes.
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L'EPILATION
15/06/2008 02:44
Les techniques d’épilation
Aujourd’hui, la beauté passe par beaucoup de critères différents, que ce soit pour la femme ou pour l’homme. Les deux sexes sont devenus égaux devant le concept de l’utilisation d’artifices ou de pratiques pour plaire. Décortiquons donc déjà l’un de ces moyens, plus que jamais utilisé de nos jours, l’épilation.
Le rasage
Le rasoir, que tous connaissent, qu’il soit électrique ou mécanique. C’est un moyen rapide, au résultat parfait assuré. Plus adapté pour les jambes et les et les aisselles, il a un principal inconvénient, c’est qu’il est nécessaire tous les deux jours, voire tous les jours, car les poils repoussent vite et plus durs que la fois précédente. A déconseiller pour les jambes des femmes si elles veulent les garder douces.
Epilation électrique
l’épilateur électrique, adapté aux peaux peu sensibles. Pour environ 60 euros de prix d’achat, il garantit un résultat net pour 3 semaines. Mais cela reste long, bruyant, et ça fait beaucoup plus mal, surtout si l’intention est de faire le maillot ou les aisselles.
Epilation à la cire
Ensuite vient la cire. Elle peut être achetée ou faite soi même de façon artisanale (miel, citron et sucre). Son efficacité tient dans le fait qu’elle arrache à la racine, pour un résultat qui dure 3 semaines minimum, avec une repousse beaucoup plus lent. L’inconvénient est qu’il faut avoir un bon coup de main pour appliquer la cire, surtout dans les endroits difficilement accessibles comme l’arrière des cuisses, et faire attention aux brûlures en cas de cires trop chaudes. La cire est plus efficace sur les poils longs, cela demande donc de les laisser repousser d’environ 3mm minimum avant de réitérer l’opération. Le mieux est de se faire épiler par une esthéticienne professionnelle. De plus, elle ira beaucoup plus vite.
La crème ou mousse dépilatoire
Sinon pour les douillets et les débutants, i est souvent conseillé la crème dépilatoire. On dépose la crème sur la peau avec une petite cuiller ou une spatule, puis on rince après 10 minutes de dissolution. Malheureusement, cela nécessite beaucoup de produit, et ce n’est pas très économique. De plus le résultat est quasiment identique au rasage, ça repousse plus dur et plus vite.
L’épilation au lazer
Enfin, l’épilation au laser, épilation durable (et non pas définitive). La lumière du laser du dermatologue agit sur la mélanine du poil, et détruit le poil et le bulbe. Ce qui fait que ça ne marche que pour les gens à la peau blanche et aux poils noirs. A partir de 80 euros par séance, l’épilation durable est indolore, mais longue car nécessite plus d’une séance, espacée par plusieurs mois.
Epilation des hommes
Et qu’en est-il des hommes ? Bon nombre d’entre eux avouent avoir recours à l’épilation. Les endroits qu’ils se font le plus souvent épiler sont les aisselles, le torse, le pubis et l’aine. Que ce soit crème, cire ou rasoir, il n’y a pas à priori de technique préférée. Cela est peut être du au fait que très peu accomplissent cette opération eux-mêmes, mais préfèrent aller en centre spécialisé.
Le but avoué est bien sûr l’envie de plaire, car de plus en plus de femmes, surtout chez les 15 à 22 ans, apprécient considérablement le résultat esthétique mais également l’effort fourni par les hommes qui prennent soin de leur corps.
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