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LE COACHING
15/06/2008 01:31
QU'EST CE LE COACHING?
Le coaching est l'accompagnement d'une personne dans l'atteinte de son ou de ses objectifs. Il y a autant d'objectifs qu'il y a d'individus.
QUELLE DIFFERENCE ENTRE LE COACHING ET LE CONSEIL?
En coaching, le coach vous accompagne à vous poser les bonnes questions, il ne vous conseille pas, au contraire, il vous guide vers votre autonomie. Un coach n'est pas un expert dans un domaine technique, sauf en celui de la relation humaine.
QUELLE DIFFERENCE ENTRE LE COACHING ET LA THERAPIE?
En thérapie, on va moyennement bien, et on cherche à aller mieux. En coaching, on va bien, et on veut aller encore mieux. c'est une demande en amont qui peut éviter une thérapie, et pro-active. En coaching on s'intéresse au moment présent et au futur, pas au passé, ou brièvement.
A QUI S'ADRESSE LE COACHING?
A tout un chacun qui sent une limite dans tel ou tel objectif, professionnel ou personnel, et souhaite se donner les moyens d'investir en lui ou en elle.
A QUOI SERT LE COACHING?
A vous aider à prendre du recul, à avoir un avis neutre, objectif d'une personne qui ne fait pas partie de vous entourage (celui-ci est rarement neutre).
D'OU VIENT LE COACHING?
Au départ, le coaching s'adressait aux sportifs professionnels, amenait à aller au delà de leurs limites, à se dépasser. Ensuite le coaching fut réservé à une élite (politiciens, hommes d'affaires, stars). A l'heure actuelle, où l'on parle de life coaching, le coaching s'est démocratisé, et plus abordable, et s'adresse à chacun.
LES LIMITES DU COACHING?
Comme tout dans la vie, il n'y a rien de magique, un coaching demande un investissement personnel de la part du coaché, mais comme tout travail régulier, ça porte ses fruits ! Deuxième point, comme dans tout corps de métier, certains professionnels sont plus compétents que d'autres.
LE COACHING BIEN ETRE:
C'est vous aidez à vous sentir dans votre corps.Le but essayer de ramener le corps et l'esprit...
Un esprit sain dans un corps sain, alors ça passe par la nutrition d'abord, le sport, et la gestion des différents emtions telles que le stress, l'estime et la confiance en soi...
LA DUREE D'UN COACHING:
Un coaching doit être bref. C'est soit sous forme intensive d'une à deux fois par semaine pendant une saison environ, ou tous les quinze jours, soit ponctuellement. Mais ça ne dure pas longtemps telle une analyse par exemple
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PETIT QUESTIONNAIRE POUR MIEUX CIBLER VOS OBJECTIFS...
15/06/2008 01:36
1.AVEZ VOUS CONFIANCE EN VOUS?
2.NON? QU'EST CE QUI VOUS BLOQUE?
3.QUE PENSEZ VOUS DE VOTRE VIE PROFESSIONNELLE?
4.PRIVE?
5.ETES VOUS DE NATURE ANGOISSE?
6.COMMENT VOUS SENTEZ VOUS MORALEMENT?
7.DONNEZ MOI LA DEFINITION DU BIEN ETRE?
8.ETES VOUS PRETE A VOUS REPRNDRE EN MAIN?
9.DANS QUELS BUTS?
10.CROYEZ VOUS EN NOTRE COLLABORATION?
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REGLES DE BASES A ABSOLUMENT RETENIR...
15/06/2008 01:44
- Adapter les apports énergétiques aux besoins de l'organisme.
- Faire trois repas par jours.
- Ne surtout pas sauter un repas!!!
- Varier les aliments.
- Boire au moins 1l à 1,5l d'eau par jour.
- Eviter les aliments frits ou espacés les de 10 jours.
- Manger au moins 5 fruits et légumes par jours...
- Remplacer au maximum le sel par des épices..
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TROUBLE DU COMPORTEMENT ALIMENTAIRE
15/06/2008 02:05
Les troubles des conduites alimentaires - TCA - (ou troubles des "comportements" alimentaires) se caractérisent par un trouble en rapport à l'alimentation.
Cette psychopathologie de formes diverses et variées se présente chez le nourrisson, les adolescents surtout filles mais aussi garçons, chez les adultes et les personnes âgées. Elle peut être reliée à un autre trouble psychique comme les dépressions, les psychoses (délire d'empoisonnement) ou elle traduisent un fonctionment borderline et/ou addictif.
Les TCA sont à distinguer d'affections organiques telle par exemple la véritable anorexie qui est un trouble strictement médical.
En clinique, ces différentes formes se présentent soit de manière isolées soit mixtes :
L'anorexie mentale La boulimie Le pica Le mérycisme L'orthorexie L'hyperphagie La sitiomanie Les TCA peuvent être transitoires ou durables et alors parfois devenir invalidants, engendrant même un risque vital (en particulier pour l'anorexie mentale).
Les traitements de ces troubles sont effectués en collaboration entre par exemple le pédiatre, le pédo - psychiatre ou - psychologue, ils comprennent généralement des aspects psychothérapeutiques, éducatifs (comportementaux), diététiques et médicaux. Les traitements mobilisent de surcroît souvent l'entourage, famille, conjoînts/tes, etc.
Les troubles de l'alimentation sont une conséquence de troubles psychiques souvent inconscients variés Ils se manifestent par exemple par une préoccupation tyranique du poids, ou au contraire à une négligence totale du corps ou encore à des attitudes qui ressemblent aux auto-mutilations. Ils comportent parfois une dimension suicidaire à laquelle le spécialiste consultant doit particulièrement veiller. Les enjeux psychiques de ces symptômes doivent être apprécisés et évalués en fonction de la personne qui en souffre et son histoire, celle de son environnement y compris l'environnement de la petite enfance et d'évènements déclenchants de la symptomatologie. La seule présence - ou absence - d'un symptôme ou d'un autre ne suffit pas pour établir un diagnostique différentiel.
La mode de minceur, les mauvaises habitudes alimentaires, les phénomènes d'imitation entre adolescents - et autres facteurs socio-culturels - jouent un rôle certain mais qu'il est difficile d'apprécier et qui de toute façon est assez peu pertinent dans les prises en charge.
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LA BOULIMIE
15/06/2008 02:11
Les causes de la boulimie sont complexes et multiples et sont issues d'une combinaison de facteurs émotionnels , comportementaux, psychologiques et sociaux. Ces facteurs sont paradoxalement les mêmes que ceux de l'anorexie mentale, les deux maladies étant fréquemment liées. Un même patient peut souffrir d'une combinaison des deux maladies, ou d'une alternance d'anorexie et de boulimie.
La boulimie peut être isolée en tant que symptôme. Mais elle peut aussi se rencontrer avec d'autres troubles : les syndromes dépressifs, les troubles anxieux de la personnalité, des conduites addictives (comorbidité).
A noter que 30 à 60% des personnes qui souffrent de troubles alimentaires souffrent d'un trouble de la personnalité de type borderline. La boulimie est alors un symptome
Les personnes touchées utilisent souvent la nourriture et le contrôle sur la nourriture afin de trouver un moyen de compensation pour des émotions et des sentiments qui semblent indomptables ou insurmontables.
Pour certains, jeûner, ingérer des aliments d'une manière excessive et se faire vomir peut être comme une façon de surmonter ces émotions difficiles et d'avoir l'impression de maîtriser sa vie.
Finalement, ces comportements vont nuire à la santé physique et psychique. La boulimie est plus fréquente que l'anorexie, et elle lui est souvent associée. Elle touche plus volontiers les femmes que les hommes (9/10), notamment la femme jeune, débutant souvent en fin d'adolescence (18-19 ans), et concerne en France 3% des adolescentes.
Cependant, ces chiffres peuvent être faussés à la baisse du fait de la difficulté à détecter la « boulimie avec purge » (vomissement, lavement,...) qui ne montre pas les stigmates habituelles d'obésité ou de maigreur morbide.
On note une corrélation entre Trouble du Comportement Alimentaire (Boulimie et Anorexie) et Trouble de la sexualité. Une proportion anormalement élevée de cas d'abus sexuel lors de l'enfance et de l'adolescence a été soulignée par plusieurs études épidémiologiques.
Une interprétation psychiatrique voit la boulimie comme une réaction de défense contre la séduction et l'acte sexuel par la déformation du corps (obésité notamment); au contraire de l'anorexie qui viserait les mêmes objectifs en ramenant le corps à l'état prépubère (aménorrhée notamment).
La boulimie entraîne des comportements compulsifs de consommation de nourriture, en grande quantité, sur un court laps de temps. Les aliments choisis sont assez stéréotypés : aliments très caloriques, volontiers sucrés (gâteaux, crèmes, glaces,...) parfois salés (charcuterie, fromages,...). Le déroulement de la crise est marqué par un début brutal, avec sensation de malaise, de vide, de grande anxiété, que le patient ressent comme particulièrement pénible, et que l'ingestion massive et brutale de nourriture pourra calmer. Ce paroxysme anxieux se solde donc par la crise boulimique proprement dite, avec excès alimentaire, souvent accompagné de culpabilité, de perte de contrôle, et de sentiment de détresse face au trouble et à la honte d'avoir cédé à la pulsion. La crise peut durer jusqu'à ce que le malade ressente de violentes douleurs abdominales, signe que l'estomac est rempli, et signant souvent la fin de la crise. Le patient est alors souvent en prise à un malaise physique (associée à la douleur morale, la culpabilité, la honte) qui se résout souvent par des vomissements volontaires. Ces prises alimentaires sont souvent associées à un maintien du poids, en raison des tactiques de contrôle du poids : vomissements, prise de laxatifs, exercice physique, crise d'anorexie, diurétiques, lavements, médicaments coupe-faim. Survenue régulière de crises boulimiques, telles que décrites ci-dessus. Stratégies de maintien de poids. Les crises surviennent au moins deux fois par semaine, pendant au moins 3 mois. L'estime de soi est particulièrement influencée par le poids et la forme corporelle (c'est-à-dire que le patient a des préoccupations excessives pour son poids, ses formes, la nourriture, etc.) Le trouble ne survient pas exclusivement pendant des périodes de boulimie. (sinon, on parle d'anorexie associée à des crises boulimiques) Des complications parfois graves ont été notées : oesophagite (liée aux vomissements répétés), rupture oesophagienne ou gastrique (par absorption massive d'aliments), des troubles ioniques (en rapport avec l'utilisation de diurétiques ou de laxatifs) pouvant aller jusqu'à des arythmies cardiaques et des complications dentaires. Ces complications peuvent faire prendre conscience au sujet des risques qu'il encourt : par exemple vomir du sang peut être un choc pour le/la boulimique et faire diminuer ses crises. Mais il est possible alors qu'il/elle se tournera vers d'autre addictions pour combler son besoin de à la fois contrôler son corps et sa vie et à la fois les détruire Disparition avec le temps mal expliquée, le plus souvent, mais non sans souffrance qui doit justifier une consultation spécialisée. Passage à la chronicité : la boulimie perdure, avec des rechutes fréquentes, et des risques sérieux pour la santé. Cela pourrait montrer la fixation du sujet sur un ou des évènements non résolus dans sa vie. Apparition d'une dépression, de conduites addictives (drogues, alcool): déplacement du symptôme de la boulimie vers d'autres modes d'expression de la souffrance. Porte d'entrée vers l'anorexie : retournement de la pulsion sur la personne propre et renversement dans le contraire.
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